mercredi 25 juin 2008

Article Vars Matin, 23 juin 2008

Alexandre Malafaye, le Ian Flemming français
Alexandre Malafaye ne se sépare plus de Johanna Bay, son héroïne qui supplante James Bond en rebondissements et complots internationaux.
Avec la publication de son premier roman "Jeux Chinois", Alexandre Malafaye, cadre supérieur dans un groupe de restauration collective international, tutoie son rêve : celui de devenir écrivain.
Premier tome de la série Geopoly, Jeux Chinois est un roman d'anticipation historico-politique sur fond de tensions internationales.
Un beau bébé de près de 600 pages, écrit en un peu moins d'un an, dont l'homme fait lui-même la promotion dans toute la France. Un vrai marathon.
De passage dans la cité du Bailli, il témoigne de l'énergie qu'il lui a fallu dépenser. "J'écrivais principalement le soir, les week-end et pendant les vacances. Du coup, je n'ai eu que trois jours de vacances en un an."
Dans son roman, l'héroïne, Johanna Bay, est aux prises avec les dirigeants de l'Empire du milieu aux ambitions conquérantes.
Rapidement, cette femme d'une quarantaine d'années aussi belle qu'intelligente, est sur la piste d'une manipulation chinois "à grande échelle et qui vise l'Afrique..."
"Johanna est attachante parce qu'elle est à la fois historienne et détentrice d'un Prix Nobel de la paix pour ses actions humanitaires. Elle a, en plus, les intuitions d'une Miss Marple, l'héroïne des livres d'Agatha Christie..." explique Alexandre Malafaye. Ce qui la rapproche de... James Bond. "Mais en plus moderne..." précise-t-il.
Son livre, sorti aux éditions Descartes et Cie, "flirte entre la fiction et la réalité sur fond d'oppositions entre Est et Ouest".
Le lecteur est donc entraîné de la Chine à l'Indonésie en passant par les Etats-Unis et la France. Il découvre les coulisses du pouvoir et voit expliqués les petits détails des grandes affaires politiques internationales.
A travers les aventures sa Johanna Bay, Alexandre Malafaye a tout le loisir de mettre à profit sa passion pour l'Histoire, la politique et l'économie. Et si les profils des hommes politiques ressemblent à certains dirigeants actuels, les noms en sont changés... Toute ressemblance avec des faits ayant eu lieu ou actuels étant là, parfaitement voulue. L.F.

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